Depuis plusieurs années, je sens grandir en moi l’envie de contribuer de manière concrète, structurée et durable à la transition écologique, sociale et éducative sur le continent africain.
Ayant grandi entre l’Europe et l’Afrique, j’ai développé une identité hybride qui me permet de comprendre les deux mondes, leurs forces respectives, leurs limites, et surtout les ponts possibles entre eux.
Aujourd’hui, je souhaite donner forme à cette vision à travers la création d’un écolieu situé à 60 km au nord d’Abidjan.
Ce lieu, encore en phase d’élaboration, pourrait devenir un espace d’apprentissage, d’expérimentation, d’innovation et de transformation au service des communautés locales, des jeunes, des femmes, des associations et des entrepreneurs engagés.
Ce projet s’inscrirait dans une ambition à long terme : créer un modèle reproductible que d’autres territoires pourraient adopter, adapter et faire vivre à leur manière.
Je suis franco-ivoirien, et mon parcours m’a conduit à créer des écosystèmes de coopération, des communautés d’entrepreneurs engagés, des programmes d’accompagnement, des espaces de gouvernance, des projets éducatifs et des lieux ressources.
Ces expériences m’ont donné :
une compréhension fine des dynamiques sociales, culturelles et économiques africaines et européennes,
une expertise en structuration de projets et d’organisations,
une capacité à fédérer des acteurs autour d’une vision commune,
une sensibilité profonde pour les questions d’écologie, d’éducation et de transformation personnelle,
une légitimité pour articuler des approches méthodologiques issues de différents continents.
Ce projet d’écolieu serait la continuité naturelle de mon parcours.
Il me permettrait de mettre en œuvre des années d’apprentissage, de terrain, de rencontres et de transmission, en créant un espace concret où l’on pourrait expérimenter et incarner les transformations que nous souhaitons voir émerger.
Je suis déterminé à le mener à bien, car je crois profondément que l’Afrique peut devenir un terrain fertile pour des modèles innovants, résilients, écologiques et humains.
Pour amorcer ce projet, je dispose déjà d’une parcelle de 10 hectares située dans la zone où l’écolieu pourrait être implanté.
Sur ce terrain, des expérimentations agroécologiques ont déjà commencé : tests de cultures, observation du sol, mise en place de premiers systèmes naturels, exploration des possibilités d’agroforesterie.
Cette parcelle constitue une première étape, un laboratoire concret où je peux déjà :
comprendre le territoire,
expérimenter différentes pratiques agricoles,
identifier les ressources locales,
impliquer progressivement les acteurs du village et de la région,
préparer les futures infrastructures de l’écolieu.
Elle représente la base fondatrice à partir de laquelle le projet pourrait se déployer.
L’écolieu serait imaginé comme un espace vivant structuré autour de quatre pôles principaux.
Formations, ateliers, séjours pédagogiques, programmes pour écoles, sensibilisation à l’environnement, accompagnement des jeunes et des familles.
Permaculture, agroforesterie, transformation vivrière, pépinière, systèmes de culture résilients, transmission de pratiques agricoles adaptées.
Recyclage, low-tech, fabrication artisanale, accompagnement de micro-projets locaux, incubateur rural, développement de solutions simples et reproductibles.
Espaces d’accueil, d’hébergement, de travail partagé, résidences d’artistes ou de chercheurs, séminaires engagés, événements culturels et éducatifs.
Chacun de ces pôles serait conçu pour être testable, adaptable et transmissible.
Mon souhait serait que l’écolieu devienne un prototype, un lieu démonstrateur capable de produire des méthodes réplicables.
Toutes les expérimentations menées sur le site pourraient être :
documentées,
évaluées,
transformées en référentiels,
partagées avec d’autres communes, ONG, villages, institutions, entrepreneurs, diasporas ou collectifs souhaitant créer un lieu similaire.
L’objectif serait de contribuer à l’émergence d’un réseau de lieux engagés en Afrique, basés sur la coopération, le partage, la solidarité et l’innovation.
Si le projet se concrétise, il pourrait générer :
des emplois locaux durables,
des opportunités de formation pour les jeunes et les femmes,
une amélioration de l’autonomie alimentaire,
une valorisation des déchets,
une montée en compétences des populations,
un dynamisme économique et touristique,
une préservation du patrimoine écologique et culturel.
Je souhaite construire ce projet avec et pour le territoire.
La gouvernance pourrait être participative, inclusive et inspirée de modèles coopératifs. Les habitants, associations, institutions, entreprises locales et partenaires internationaux pourraient jouer un rôle actif dans les décisions et orientations.
Le projet en est encore à ses prémices.
Beaucoup d’éléments restent à affiner, concevoir, structurer et expérimenter.
J’invite donc toutes les personnes et organisations intéressées par :
la transition écologique,
l’éducation,
l’innovation sociale,
l’économie circulaire,
l’agroécologie,
la coopération internationale,
ou la construction de lieux alternatifs,
à entrer en contact avec moi pour imaginer ensemble les prochaines étapes.
Cet écolieu serait pour moi un lieu de convergence : convergence entre mes deux cultures, entre mes valeurs et mon parcours, entre les besoins actuels du territoire et les solutions possibles pour demain.
Je suis déterminé à explorer tout ce qui sera nécessaire pour faire émerger ce lieu pilote, afin qu’il puisse inspirer d’autres initiatives en Côte d’Ivoire, en Afrique et dans le monde.
Étant encore en phase d’élaboration, ce projet d’écolieu nécessite un ensemble de ressources, de compétences et de collaborations, pour passer de l’intention à la réalisation concrète.
Voici les besoins principaux qui permettraient d’accélérer sa structuration, sa mise en œuvre et son déploiement futur.
Je souhaite collaborer avec :
les autorités locales et régionales,
les organisations communautaires,
les acteurs agricoles, éducatifs et environnementaux,
les ONG et associations déjà implantées sur le territoire.
Ces partenariats seronnt essentiels pour ancrer durablement le projet, comprendre les enjeux locaux, mobiliser les habitants et construire une gouvernance adaptée.
Pour structurer, concevoir et sécuriser les différentes composantes du projet, j’ai besoin de m’entourer d’experts dans les domaines suivants :
agroécologie, permaculture, agroforesterie, gestion de l’eau,
architecture écologique et construction bioclimatique,
recyclage, économie circulaire et solutions low-tech,
ingénierie pédagogique et innovation éducative,
développement territorial et ingénierie de projets ruraux,
gouvernance coopérative et intelligence collective.
Ces expertises permettraient de consolider la vision, d’élaborer les plans opérationnels et de garantir la faisabilité technique et le développement serein du lieu.
Le projet pourra s’appuyer sur :
des volontaires motivés,
des personnes souhaitant contribuer à la mise en place des premiers aménagements,
des formateurs ou accompagnateurs prêts à intervenir ponctuellement,
des habitants ou membres de la diaspora désireux de partager leurs compétences.
Toute personne souhaitant s’impliquer, même de manière ponctuelle, peut contribuer à faire grandir ce projet.
Pour passer à la phase de structuration avancée et amorcer les premiers travaux, le projet nécessitera progressivement :
un financement de démarrage pour l’étude, la conception et la préparation du site,
des apports matériels (outillage, systèmes d’irrigation, matériaux naturels, équipements pédagogiques),
un soutien pour l’installation des premières infrastructures écologiques,
des contributions permettant d’expérimenter différents modèles agricoles sur la parcelle de 10 hectares.
Les financements pourront provenir de partenaires privés, de mécénat, d’organisations internationales, de fonds d’innovation ou de programmes spécifiques dédiés à l’agroécologie et au développement territorial.
Je souhaite également collaborer avec :
des universités,
des centres de recherche,
des écoles et institutions pédagogiques,
des artistes, médiateurs, éducateurs et formateurs.
L’objectif serait de co-créer des programmes, d’expérimenter des approches innovantes et de faire de l’écolieu un espace vivant d’exploration, de documentation et de transmission.
Étant donné que ce projet a vocation à devenir un modèle pilote reproductible, j’ai besoin de m’entourer de personnes et d’organisations capables de :
accompagner la structuration d’un modèle duplicable,
contribuer à la rédaction de guides pratiques,
soutenir la documentation des expérimentations,
favoriser les échanges interculturels et méthodologiques avec d’autres pays.
Ce réseau de coopération serait essentiel pour assurer le rayonnement du projet et préparer l’émergence de futurs écolieux inspirés de ce modèle.
Ces besoins ne sont pas figés : ils évolueront au rythme de l’avancement du projet, des rencontres, des opportunités et des dynamiques locales.
Toute proposition, compétence, ressource ou soutien pourrait contribuer à faire émerger un espace pilote utile au territoire et inspirant pour d’autres régions d’Afrique et du monde.
Je reste ouvert à toute forme de collaboration permettant de structurer, enrichir et concrétiser cette initiative.
Vous pouvez me joindre à ken@ekoacteurs.com ou via ma fiche membre ekoacteurs ici.
A bientôt